Auteur - Essayiste

"La nature d'une civilisation, c'est tout ce qui s'agrège autour d'une religion."
André Malraux
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Essais
De la Théogonie à l'Agonie
Réflexions politiquement incorrectes et religieusement hétérodoxes sur la mort de la France
Essai en 3 Tomes paru chez Jean-Marc Savary Éditions


Tome 1 : FONDATIONS
« De la Théogonie à l’agonie » analyse le déclin inexorable de l’Occident, en général, et de la France, en particulier.
Le Tome Premier, « Fondations », nous emmènera dans un lointain passé, celui qui vit naître chez l'Homme les premières interrogations face à la mort, et donc avec elles les germes du Sacré et de toutes les religions à venir, alors qu'il était encore chasseur-cueilleur nomade. Il en découlera que les hommes qui s'agrégeront au Néolithique le feront en portant déjà en eux leurs dieux et leurs croyances, autour desquels se construiront par conséquent les civilisations. Y sera donc défendue l'idée qu'il ne peut y avoir de civilisation qui n'ait pour Axe une Spiritualité autour de laquelle s'agenceront tous les domaines relevant de la Temporalité, avec tout ce qu'impose de contraintes la nécessité de vivre de plus en plus nombreux au sein de la Cité des hommes. La rédaction d'un tel livre, qui oblige en particulier à se tourner vers le passé afin de comprendre comment il put advenir qu'une des plus grandes civilisations que la Terre ait portée, tant par son rayonnement que par sa longévité, puisse aujourd'hui se retrouver en soins palliatifs dans un EHPAD pour nations, ne peut être menée à bien qu'en pratiquant davantage la langue d'acier que la langue de bois.
Tome 2 : CONSTRUCTION
C'est autour de l'alliance de la Croix et de la Couronne que s'agrégèrent patiemment en un unique Royaume des provinces riches de la diversité de leurs paysages et de leurs terroirs, riches de leurs langues, de leurs dialectes, de leurs traditions, de leurs architectures, de leurs croyances populaires, qui se trouvèrent ainsi, de nature, enracinés dans la terre qui les vit naître, mais unifiées par une même Morale Supérieure les transcendant toutes sans pour autant les effacer. C'est la Civilisation Chrétienne qui insuffla l'esprit de Chevalerie qui fit que même sur les champs de bataille accorder la grâce et demander rançon à l'ennemi désarçonné était plus noble que l'occire, ce qui eût été souvent plus simple, plus sûr et plus rapide.

Tome 3 : DESTRUCTION
Nous dresserons sans détours, dans ce Tome Troisième, la liste des responsables et coupables qui firent et font que nous en sommes rendus à un point plus que probablement de non-retour: ceux qui délibérément s'ingénièrent et s'ingénient encore à abattre notre civilisation chrétienne au nom de leurs idéologies ; ceux qui de par leur investiture les faisant pourtant gardiens des colonnes spirituelle et temporelle firent et font encore des trous dans la coque du navire à eux confiés ; et tous ceux qui observèrent et observent tout cela en silence dans la passivité des soumis, se laissant ainsi déposséder de leur héritage millénaire, c'est-à-dire vous et moi.
On ne peut tout à la fois pleurer la mort de notre civilisation chrétienne et se réjouir de la disparition de ce qui l'a édifiée.
Nouvelles
Prix promotionnel pour l'achat des 3 Tomes : Promo
À paraître à l'automne 2025 :
Intemporalités
Nouvelles fantas(ti)ques d'un pays en déshérence.

Intemporalités...
N'est-ce pas là un mot inventé pour tenter de fuir par notre imaginaire l'inéluctabilité du temps qui passe, l'attente du dernier grain qui s 'écoulera dans l'étranglement du sablier, nous emmenant avec lui ? Vers où ? Vers quoi ?
Intemporalités...
Est-ce être hors du temps ou de toutes les époques, est-ce vivre dans un éternel présent ou dans le passé aussi bien que dans le futur ?
Intemporalités...
Des destins qui se croisent, des histoires de vie et de mort, des vies qui peut-être reviennent ou qui peut-être repartent, des désirs d'immortalité ou l'acceptation de la mort, des états d'âme partagés entre souvenirs et oublis.
Intemporalités...
Prétextes peut-être, tout simplement, à regarder par différentes fenêtres temporelles notre propre présent.
Projets


L'Homme ne s’évertue-t’il à nier Dieu que pour en usurper le Trône et s’asseoir en démiurge au sommet de l'Olympe?
« Nous devons soit réussir la production artificielle de la matière vivante, soit comprendre les raisons qui la rendent impossible. » écrivit le biologiste Jacques Loeb en 1912. Plus d'un siècle plus tard, alors que malgré tous les moyens dont elle dispose, la Science n'a toujours pu réaliser le passage de l'inanimé à la cellule, elle ne s'interroge toujours pas sur les raisons de cette impossibilité.
La Vie et la Conscience sont elles la conséquence de réactions moléculaires ou en sont-elles la cause, là avant toute manifestation? Qu'ils ne puissent répondre à cette question n'empêchent nullement le scientifique de franchir toutes les limites par la Nature imparties ni le législateur de s'arroger sur les existences le droit de vie et de mort.
Et à ceux-là, il nous faut désormais ajouter ceux qui purement et simplement nient les acquis de la Biologie, ceux pour lesquels, au mépris des évidences et de la réalité qui doit donc disparaître, ne doivent exister que leurs ressentis.
Fivete, avortement, euthanasie, PMA, GPA, wokisme, transhumanisme... : tous unis dans le massacre des existences?
Si Dieu Est, s’ Il est un Absolu à l'origine de tout, cela nous oblige à admettre, ce Dieu étant nécessairement le même pour tout le monde, en tous lieux et en toutes époques, que les Lois divines, régissant tant l'Invisible que le visible, doivent tout aussi nécessairement être les mêmes pour tout le monde, en tous lieux et en toutes époques. Ainsi, de la même manière que des chercheurs qui avec rigueur et objectivité auraient voulu étudier la gravité auraient obligatoirement découvert les mêmes lois quels que fussent le pays et le siècle où ils vécurent, de même des chercheurs en quête de la connaissance des Lois de Dieu, devraient, si leur démarche est couronnée de succès, aboutir à la découverte des mêmes Lois, d'autant que par leur origine même, nous pouvons les supposer d'une rigueur impeccable et implacable. Si architecture divine il y a, celle-ci ne peut être en effet, pour rendre compte de la cohésion de l'ensemble, que d'une cohérence sans faille, déroulant sa logique du Causal initial à la moindre des conséquences finales, car il nous faut alors nécessairement admettre, dans une telle Création, l'existence de lois rigoureuses pouvant seules expliquer comment de l'Absolu put naître le relatif, de l'Infini le fini, de l'Abstrait le concret, de l'Esprit la matière, impliquant par conséquent que les lois du monde matériel lui-même et donc celles étudiées et découvertes par la Science ne sauraient se tenir en-dehors de ce plan. Les lois de la nature observables et mesurables ne sauraient donc être en contradiction avec des lois immatérielles dont elles ne seraient que la conséquence. Si donc logiquement, descendant de causes en conséquences, les lois de Dieu conduisent à la Science, alors logiquement, remontant des conséquences aux causes, les lois de la Science devraient nous conduire à Dieu.

Ceux qui, à Athènes, inventèrent la démocratie, dont ils réservèrent l'exercice, au sein de la Cité, à ce qu'elle comptait d'érudits et d'orateurs passés maîtres en rhétorique, seraient effondrés s'ils pouvaient constater ce que nous en avons fait.
À la qualité fut substituée la quantité, car désormais ce qui emporte la décision se résume à un seul mot : le nombre. Lors d'une élection, chaque voix a en effet exactement le même poids qu'une autre voix, et il serait politiquement incorrect de discuter ce principe égalitaire. Encore que...
Encore que, lorsque l'on dit que toutes les voix se valent, alors on dit que celle de l'inculte vaut celle de l'érudit, celle du crétin celle de celui qui réfléchit. Il n'y a donc là nulle égalité, mais égalitarisme qui ne peut satisfaire ni l'érudit ni celui qui réfléchit, mais qui, principe même de l'égalitarisme, valorise l'inculte et le crétin.
Le suffrage universel n'est qu'une duperie qui n'eut jamais pour objectif d'accorder une quelconque souveraineté au peuple, mais de faire de ce dernier l'idiot utile d'une classe au pouvoir qui institua la démocratie représentative pour s'inventer une légitimité, grâce à laquelle, "au nom du peuple", ils votent en fait "à la place du peuple", et, de plus en plus, "contre le peuple". Et grâce à laquelle, d'élection en élection, elle est toujours au pouvoir depuis qu'elle s'en empara en 1789.
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